Chers lecteurs,

Je souhaite partager avec vous comment j’en suis venue à travailler dans la relocalisation.

En 1970 ma mère donna un ultimatum à mon père, qu’il laisse tomber son emploi car il était auditeur et voyageait constamment, ou qu’il demande à être muté à l’étranger. La seconde alternative fut choisit et mon aventure démarra ! Le point de départ ? Et bien, je suis née le 1er avril 1982 (ca n’est pas un poisson d’avril) à Casablanca au Maroc où mes parents, ma sœur et mes deux frères habitaient depuis plus de 6 ans. Depuis ce moment là, il m’a été donné la belle opportunité de grandir parmi des cultures différentes de la mienne.

Ma vie n’est pas devenue celle d’une expatriée; l’expatriation à conduit ma vie pour que je devienne qui je suis.

À partir de ce jour, j’ai vécu au Maroc, en France (d’où je suis originaire), aux Philippines, en Chine, en Angleterre, aux États-Unis et maintenant au Canada.

La relocalisation est une période stressante pour certains, pour moi c’est devenu nature et l’épreuve que j’ai rencontré est la recherche d’une certaine stabilité.  Après des années dans l’industrie hôtelière et un projet personnel audacieux, j’ai trouvé que la prochaine étape naturelle était l’industrie de la relocalisation.

Notre société pousse les individus à trouver leur place ! La relocalisation et le Canada m’ont procuré cela.

Bien que je sois une ‘novice’ dans l’industrie de la relocalisation, aucune expérience professionnelle ne remplacera le savoir accumulé à travers mes années de relocalisation. J’ai débuté mon emploi chez ARIANNE avec un objectif; mettre en avant quelque chose qui me semble naturel afin d’aider les autres à vivre la relocalisation et l’expatriation de la façon la plus positive possible.

Quant à la raison pour laquelle j’ai choisis le Canada, à part le facteur ‘amour’ avec mon conjoint déménageant à Montréal, c’était simplement une bonne option. Ayant toujours eu un faible pour l’Amérique du Nord, j’avais aussi besoin d’un endroit que je pourrai appeler ‘maison’ et Montréal, avec ses nombreuses cultures and le bilinguisme Français/Anglais avait du sens.

Selon le rapport “2010 Global Liveability” de ‘The Economist Intelligence Unit’ (https://ariannerelocation.com/en/news) il semble que je n’aurais pas pu choisir un meilleur pays pour la qualité de vie que celui-ci procure à ses habitants.

Revenez fréquemment sur notre blog car dans mon prochain billet je vous parlerai davantage de la fameuse qualité de vie qu’offre le Canada !